On parle beaucoup des suicides de policiers ou d’agents de France-Télécom, sans toutefois en connaître les causes réelles, si ce n’est qu’elles trouveraient leurs sources dans l’environnement professionnel.
On parle beaucoup moins des suicides dans la Gendarmerie et les explications de tels gestes restent généralement vagues et sans connotation professionnelle avouée.